Le président du Conseil de la Choura du Mouvement Ennahdha, Abdelkrim Harouni a affirmé lundi qu'”il existe des forces politiques dans l’opposition appelant à la violence et à l’exclusion, à la division des Tunisiens et incitant à une guerre civile.
Ennahdha et l’autorité politique du pays n’accepteront pas la violence contre l’État, a indiqué Harouni dans une intervention sur radio Mosaïque Fm, appelant à la vigilance face à ces appels soutenus de l’étranger.
Il a estimé, d’un autre côté, que certaines voix tentent d’utiliser cette période difficile pour inciter les Tunisiens à “une révolution des affamés” et à renverser les institutions publiques légitimes en investissant dans la faim et la pauvreté, affirmant que les Tunisiens ne s’engageraient pas dans ces agendas.
D’autre part, le dirigeant au sein d’Ennahdha a expliqué que le mouvement a appelé à une charte éthique et politique entre les différents partis au pouvoir afin de parvenir à l’harmonie et de trouver un consensus au Parlement.
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