L’avocat du jeune agressé par des sécuritaires, Yassine Azaza a déclaré aujourd’hui que la direction générale de la sûreté nationale avait refusé de dévoiler l’identité des agents sécuritaires accusés dans cette affaire.
Il également considéré cela comme de la “complicité” à l’acte de torture que l’enfant avait subi.
Yassine Azaza a indiqué lors de la même occasion que les sécuritaires convoqués n’ont pas répondu présents au moment de l’audience estimant que cela s’inscrit dans le cadre de la culture de l’impunité.
Il a appelé les instances judiciaires à assumer leur responsabilité dans cette affaire afin que justice soit rendue.
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