Le rapport annuel de l’organisation non gouvernementale Al Bawsala a classé le PDL comme le bloc parlementaire le plus violent suivi par Al Karama puis Ennadha.
Commentant les données parues dans ce rapport, le PDL a estimé qu’il s’agit de fausses accusations, visant à faire oublier ce qui s’est vraiment passer et ce que les citoyens ont vu de leurs propres yeux.
Le parti a rappelé que les députés PDL ont été victimes de la violence des blocs islamistes et non les auteurs de ladite violence.
Dénonçant les propos de certains membres de l’ONG qui ont déclaré que la violence était relativement difficile à définir, le PDL a souligné que ce concept a déjà été défini par le Code Pénal tunisien.
Le parti a appelé à communiquer plus de détails sur ces 7 agressions dont il est accusées par l’organisation, estimant que le rapport d’Al Bawsala n’était pas objectif.
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