Le professeur de droit constitutionnel, Amin Mahfoudh, a déclaré que l’annulation par la Haute Commission électorale indépendante des décisions du tribunal administratif concernant l’acceptation d’un certain nombre de candidatures à l’élection présidentielle est “une décision inimaginable, qui dépasse la légitimité et n’a aucun effet juridique”.
Il a ajouté, dans son intervention aujourd’hui, sur « Al-Jawhara FM », que le chef de l’autorité, Farouk Bouaskar, « a usurpé l’autorité judiciaire » et commis une erreur grave et grave », selon ce qu’il a déclaré.
Mahfoudh a poursuivi : « Le dernier mot dans les litiges revient au pouvoir judiciaire, indiquant que les candidats qui ont été exclus par une décision « nulle » peuvent faire appel des résultats des élections devant le tribunal administratif, qui peut les annuler en raison du manquement à garantir la sécurité et l’intégrité du processus électoral. »
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