Un usager de Sousse a raconté à la rédaction de TunisieNumerique, son calvaire, vécu ce mardi, parce qu’il a commis l’erreur de faire confiance, encore une fois, au service de la SNCFT.
Notre interlocuteur commence par raconter comment il a eu la mauvaise idée de voyager de Sousse vers Tunis en train. Il a choisi de voyager en première classe, à la recherche du confort, de la climatisation, et du bon service. Mal lui en prit.
En se pointant à 13H30, heure prévue du départ de son train, on lui annonça que ce convoi a été annulé, comme çà, sans crier gare. On lui a assuré que le train suivant démarrera à 15H30. Il a choisi de l’attendre. Mais en arrivant, encore une fois à la garde de Sousse, il a été surpris d’apprendre que le train allait avoir un retard considérable. Il a, par ailleurs, été informé qu’il n’y avait pas la climatisation dans les wagons de première classe.
Il a, alors demandé à être remboursé, et alla voir du côté de la gare routière à la recherche d’une voiture louage. Mais, à cause des problèmes du train, il y’avait foule et il devait attendre pendant des heures.
Il a, finalement opté pour le covoiturage et a réussi à trouver quelqu’un pour le prendre vers Tunis.
Dépité, notre interlocuteur a assuré que ce n’était pas la première fois qu’il se faisait piéger par la SNCFT, et qu’à chaque fois, il le regrettait.
Il s’est dit désespéré de vor la compagnie émerger de sa médiocrité, surtout qu’il était, comme la plupart des tunisiens, optimiste, au lendemain de la Révolution, mais qu’il a dû, vite déchanter.
Finalement, il a assuré que cette compagnie est irrécupérable et que l’Etat ferait mieux de son débarrasser en le vendant ou en en faisant n’importe quoi !
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