L’ancien président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections a souligné, dans une déclaration datant du 11 novembre 2020, l’importance de réformer le système électoral avant la date des prochaines élections, notamment le suivi du financement des campagnes.
Sarsar a, à cet effet, estimé que pour assurer la transparence et restaurer la confiance, des dispositions doivent être prises afin de lutter contre l’impunité. Il a, au même titre, révélé que plusieurs poursuites relatives à des violations majeures de la loi ont été étamées et qu’elles sont restées, à ce jour, lettres mortes.
Commentant le dernier rapport du tribunal des comptes, Le professeur de Droit constitutionnel a rappelé que la législation relative aux partis politiques interdit formellement les financements étrangers et prévoit des sanctions contre les contrevenants.
Il a, dans le même ordre d’idée, fait savoir que loi électorale actuelle prévoit le retrait de sièges au Parlement en cas de preuve de la réception d’un financement étranger par un parti politique ou par une liste électorale.
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