Via un post publié sur sa page officielle, le dirigeant nahdhaoui , Rafik Abdessalem a révélé que l’ancien ministre de la Justice Noureddine Bhiri a été placé hier sous respirateur artificiel des suites d’un malaise cardiaque.
Samir Dilou, a assuré lors d’une conférence de presse tenue hier à Tunis, que l”affaire de l’enlèvement de Nourddine Bhiri est une affaire proprement politique. Il a, sur un autre volet, affirmé que Bhiri est dans un état de santé critique et qu’il est hospitalisé en réanimation dans un hôpital à Bizerte.
Il a ajouté, dans le même ordre d’idées, qu’il a été décidé de porter une plainte contre le ministre de l’Intérieur tunisien, suite à l’affaire de “l’enlèvement” du dirigeant du parti Ennahdha Nourddine Bhiri.
D’après ses dires, Bhiri a été enlevé et emmené, soit dans une caserne, un centre d’entraînement, ou dans un endroit secret qui a été utilisé à l’époque de Zine Abidine Ben Ali, et ce pour détenir les opposants de l’ancien régime. L’intervenant a aussi indiqué que Bhiri entame une grève de la faim et refuse de prendre ses médicaments.
Le ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine a indiqué la perturbation des travaux des intérêts sécuritaires ainsi que des calomnies au cours des derniers jours.
Il a également souligné l’indépendance et la neutralité des forces de l’ordre et qu’il n’est plus question de retour à l’ère de la dépendance politique.
« Nous avons travaillé dur pour libérer l’institution sécuritaire des séquelles dangereuses qui auraient conduit le pays à des virages hasardeux. Nous ne serons pas tolérants vis-à-vis de celui qui cherche à soumettre cette institution aux services des intérêts politiques », a-t-il précisé.
Le ministre de l’intérieur, Taoufik Charfeddine a répondu aux critiques en rapport avec le recours de l’Etat à la justice militaire pour régler ses comptes avec ses opposants, en assurant qu’ils n’ont pas opté pour la justice militaire par choix, mais par obligation ; Expliquant que la nature des faits reprochés, ainsi que l’identité de la personnes impliquée obligent le recours devant les tribunaux militaires.
Il a ajouté qu’il a accordé à l’épouse de Noureddine Bhiri l’autorisation de lui rendre visite, et qu’elle pouvait ramener avec elle ses enfants, si elle le désirait, et qu’elle pouvait se faire accompagner par le bâtonnier, et d’un médecin de son choix…
Rachid Ammar, général retraité et ancien chef d’État-major des armées a comparu hier devant l’une des chambres de la justice transitionnelle pour homicide, pendant les événements qui se sont produits à Tunis 25, 26 et 27 février 2011.
A ce titre, Ammar a révélé que l’ex-ministre de la Défense, Ridha Grira, lui a demandé d’arrêter l’ex-chef de la sécurité présidentielle, Ali Seriati, qui planifiait un coup d’Etat.
Le secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire, Lassaâd Yaâkoubi a mis en garde contre la propagation rapide du Covid-19.
Il a indiqué via un post publié sur sa page officielle que les établissements scolaires seront classés comme des terrains propices à la propagation du virus. Il a tenu pour responsable le ministère de l’Education de situation sanitaire actuelle.
Le secrétaire général adjoint de l’UGTT, Hfaiedh Hfaiedh, a annoncé que l’organisation ouvrière n’est pas satisfaite de l’accord relatif aux augmentations des salaires dans le secteur privé.
Le Secrétaire Général de l’UGTT, Noureddine Taboubi a affirmé son soutien à la voie du 25 juillet.
Taboubi a précisé qu’il n’y a ni soutien absolu ni hostilité absolue, et que la voie doit être participative pour sauver le pays de sa crise.
Le porte-parole du ministère de la défense, Mohamed Zekri a annoncé, hier, qu’un pilote a trouvé la mort et qu’un co-pilote a été grièvement blessé suite au crash d’un hélicoptère militaire lors d’une mission de reconnaissance de routine à Bizerte.
Le premier juge d’instruction de la troisième chambre du tribunal de première instance de Gabès a rendu une décision d’interdiction de voyager contre le chef de la Commune de Gabès soupçonné d’abus de pouvoir d’un agent d’un agent public pour tirer un avantage personnel ou pour autrui, tout en le maintenant dans un état de libération.
Le membre du comité scientifique de lutte contre le coronavirus Dr Amen Allah Messadi, a affirmé, hier, que la situation sanitaire en Tunisie demeure délicate mais les indices sont encore rassurants.
Jawhar Mokni, directeur régional de la santé au gouvernorat de Sfax a indiqué qu’une augmentation du nombre de personnes contaminées par le covid a été enregistrée dans la région.
Laissez un commentaire