Le ministre de l’Éducation Noureddine Nouri, a inauguré, aujourd’hui, samedi, dans le gouvernorat de Monastir, 3 nouveaux établissements scolaires, à savoir deux écoles primaires et un collège.
Parmi les institutions inaugurées figurent l’école primaire Moatamar 2 qui a été rénovée pour un coût de 718 mille dinars et qui est en activité depuis le 15 septembre 2024, et l’école primaire de la cité du stade à Touza qui a été rénovée pour un coût d’un million et 200 mille dinars, et qui est actuellement fréquenté par 170 elèves.
Le collège d’El Bekalta 2 rénovée a également été inauguré dans la zone Hamada Al-Buhaira à Al-BeKalta pour un coût d’environ 5 millions de dinars, et ses travaux ont progressé de 70 pour cent. Les enseignements ont débuté dans ce collège après la réception des 4 salles et du complexe administratif, en attendant la réception de l’ensemble du projet en décembre 2024.
A cette occasion, le ministre a inspecté l’avancement des travaux dans plusieurs autres établissements d’enseignement, dont le lycée Bourguiba de Monastir, où les travaux de reconstruction d’une partie de la clôture ont progressé de 99 pour cent, pour un coût de 304 mille dinars. Les travaux se poursuivent pour préparer et entretenir la bibliothèque, les ailes d’informatique, d’histoire et de géographie, la salle des professeurs, les unités de santé, la salle de sport et les vestiaires pour une valeur totale de 997 mille dinars.
Le ministre a visité le collège de Menzel Hayet, dont les travaux ont progressé de 50 pour cent pour un coût estimé à plus de 4 millions de dinars, et le lycée de Teboulba, où un laboratoire et une salle ordinaire ont été achevés pour un coût d’environ 140 millions de dinars, apportés par la société civile à Teboulba.
Le ministre de l’Éducation a indiqué dans un communiqué de presse que l’année scolaire 2024-2025 a enregistré 37 nouveaux établissements entre les écoles primaires, collèges et secondaires, notant qu’il y a 8 mille projets en cours.
Il a souligné que la maintenance des établissements d’enseignement se poursuit, que ce soit grâce au financement du ministère de l’Éducation ou grâce aux interventions de la société civile, des banques et des entreprises nationales.
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