Les travaux du projet d’élargissement de l’entrée sud de la capitale, au niveau de la quatrième tranche liée à l’échangeur Bir Al-Qasaa à Ben Arous, ont enregistré des progrès significatifs dépassant les 80 pour cent, et ils seront prêts et entreront en exploitation courant septembre prochain, selon le directeur des grands travaux au ministère de l’Equipement et du Logement, Khaled Al-Atrach.
Khaled Al-Atrach a confirmé dans une déclaration à la TAP, que le reste des tranches du projet d’agrandissement de l’entrée sud de la capitale, dans lequel le taux d’avancement a atteint plus de 50 pour cent, a enregistré des progrès et une progression rapide dans les travaux, puisque le taux d’avancement dans l’achèvement de la troisième tranche du projet au niveau de l’intersection de l’hôpital des brûlés et des grands blessés a atteint 55 pour cent, et le taux d’avancement de la deuxième tranche, qui concerne l’agrandissement de la route au niveau de Lacania, la sortie sud et la route reliant les communes ont dépassé 46 pour cent.
Il a souligné que le taux d’avancement de la première tranche, qui concerne les travaux d’agrandissement des voies du pont Saint-Gobain, s’élève, selon ses propres termes, à 10 pour cent, tandis que la cinquième tranche, au niveau de la Junction d’Al Ihoudiya, démarre et il y a eu quelques retards par rapport aux autres tranches qui composent le projet, dont l’avancement a été estimé à 30 pour cent.
Al-Atrach a souligné le souci de la direction et du maître d’ouvrage d’accélérer le rythme d’avancement des travaux du projet, qui s’étend sur une longueur de 11,5 km et est divisé en 5 tranches pour un coût total estimé à 370 millions de dinars, compte tenu du transfert des réseaux, de l’achat des terrains et du coût des travaux, qui sont financés par le budget de l’Etat et la Banque européenne d’investissement, selon le calendrier qui a été fixé à cet effet et a dépassé certains des problèmes immobiliers qui ont empêché la réalisation de certaines tranches du projet. À cet égard, il a déclaré que l’administration a réussi à surmonter de nombreux problèmes immobiliers, qui sont parmi les raisons les plus importantes qui entravent le déroulement normal des travaux et entraînent un retard dans l’achèvement du projet après avoir apporté des améliorations, comme la préparation du projet et la possibilité de réduire les zones expropriées, en particulier les bâtiments et les stations d’approvisionnement en carburant, à 10 pour cent au lieu de 30 pour cent.
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