Demonstrators carry the portrait of Kamal Matmati, a member of the Islamist movement Ennahdha who was arrested in 1991 during Ben Ali's rule and tortured to death, during a demonstration outside the Gabes court on May 29, 2018. The first court case brought by a Tunisian commission probing human rights violations stretching back six decades opened on Tuesday, with 14 former officials, including the ousted president, on trial. / AFP / STRINGER
Le mouvement Ennahdha a réagi à l’examen de l’affaire Kamal Matmati, qui est actuellement délibérée par une cour spécialisée de la justice transitionnelle, à laquelle a assisté l’ancien ministre de l’Intérieur, Abdallah Kallel, accusé de violation.
Dans un communiqué, Ennahdha a exprimé sa totale solidarité avec la famille Matmati dans son épreuve et se tient à ses côtés dans sa quête légitime de connaître les circonstances du meurtre de son fils, de savoir où se trouve la dépouille du martyr et de faire porter à l’État les conséquences de ce crime odieux.
Ennahdha a également apprécié la présence de l’ancien ministre de l’Intérieur qui a exprimé sa sympathie à l’égard de la famille Matmati pour la tragédie qu’elle a subie et lui a présenté ses excuses en tant que ministre de l’Intérieur à l’époque “parce qu’il avait une responsabilité morale et éthique”.
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