Le climat social et économique aidant, plusieurs familles figurant parmi les fortunes de la Tunisie, ont choisi de partir pour vivre à l’étranger. Les destinations de prédilection étant Dubaï, La France, ou encore, le Maroc.
Ces familles sont parties à la recherche d’un environnement meilleur pour leurs enfants. Ils e sont installés à des milliers de kilomètres de la Tunisie et gèrent, pour le moment, meurs affaires à distance… Mais jusqu’à quand ?
Car en plus du climat social délétère qu’ils fuient, ces hommes d’affaires souffrent, aussi, d’un climat d’affaire très difficile n’aidant en rien les affaires, et, surtout, une insécurité certaine, avec l’épée de Damoclès qui est suspendue au dessus de leurs têtes, depuis que la présidence a choisi de faire d’eux sa cible préférée et son cheval de bataille dans une course effrénée pour un populisme sans limites.
Il n’y a pas une semaine qui passe sans que ces hommes d’affaires n’entendent les menaces du pouvoir qui se jure de les déposséder de leur bien, les accusant d’avoir spolié l’argent du peuple. C’est dire qu’après avoir mis en sécurités les leurs, on imagine bien que ces hommes d’affaires n’hésiteront pas à brader leurs biens en Tunisie, pour s’installer ailleurs, dans leurs nouveaux pays de résidence.
Ce qui constituerait un coup considérable à l’économie du pays, et aux milliers de salariés qui risquent de se retrouver sur le carreau.
La question n’est pas de savoir si les accusations qui les poursuivent sont fondées ou non, mais le résultat est là, et il est légitime pour ces hommes d’affaires de ne pas rester les bras croisés en attendant le sort qu’on leur réserve, et de chercher par tous les moyens à déménager leurs affaires sous d’autres cieux !
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