Au cours de la session plénière consacrée au vote de confiance dans le cadre du remaniement ministériel proposé par le chef du gouvernement Hichem Mechichi, ce dernier a affirmé qu’il avait choisi de présenter ce remaniement au Parlement indépendamment des discussions stériles sur la constitutionnalité de cette mesure.
Il a précisé, dans le même contexte qu’il respectait les institutions de l’Etat et croyait en la notion de différence qui est par ailleurs une force et non une faiblesse pouvant justifier l’exclusion, indiquant que les défis auxquels le pays est confronté sont graves et menacent la pérennité de l’État, notamment avec la poursuite du discours populiste.
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