Sihem Ben Sedrine, president of the Forum of Truth and Dignity (FTD) speaks to journalists during a press conference on June 17, 2016 in Tunis, as the deadline for the submission of complaints of abuse under former presidents Habib Bourguiba and Zine El Abidine Ben Ali passed. Bensedrine reported they had received 65,000 files from the "victims" of human rights violations in Tunisia between mid-1955 and the end of 2013. / AFP / FETHI BELAID (Photo credit should read FETHI BELAID/AFP/Getty Images)
L’ancienne membre du Conseil de l’Instance Vérité et Dignité (IVD), Ibtihel Abdellatif a dénoncé aujourd’hui les allégations de l’ancienne présidente de l’Instance de Vérité et dignité (IVD), Sihem Ben Sedrine concernant son implication dans des affaires de corruption au sein de l’Instance et son lien avec le Mouvement d’Ennahdha.
Ibtihel Abdellatif a accusé Ben Sedrine d’avoir bénéficié de l’immunité parlementaire lorsqu’Ennahdha était au pouvoir, précisant que des hommes d’affaires venait lui rendre visite aux aurores et pendant les vacances pour discuter avec elle.
Ibtihel Abdellatif a estimé que les députés Khaled Krichi et Mabrouk Korchid essayent de se défendre en la dénigrant.
Selon ses dires, Khaled Krichi avait intégré l’instance sur recommandation du dirigeant nahdhaoui, Noureddine Bhiri et de son épouse, Saida Akremi.
L’ancienne membre du Conseil de l’Instance Vérité et Dignité a également fait remarqué que le chef adjoint du Mouvement d’Ennahdha et ancien ministre de l’Intérieur, Ali Laarayedh a été épargné des sanctions qui auraient dues découler de l’usage de balles en caoutchouc à Siliana. Seuls certains agents d’un grade inférieurs ont été poursuivis par l’IVD.
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