Le professeur en sociologie, Jamel Tlili, a déclaré, que les femmes tunisiennes sont victimes de « marginalisation ». Elles sont encore largement sous-représentées dans les postes de direction, même sur le plan local.
Il a fait ces déclarations en marge de la conférence de presse organisée aujourd’hui au siège du syndicat national des Journalistes tunisiens.
Tlili a ajouté que même lorsque les femmes sont représentées, elles ne le sont qu’en apparence. Elles ne dirigent en général que des comités à faible budget.
Le professeur a également fait part que les femmes étaient victimes de violence verbale et de certaines pratiques machistes visant à les éloigner de la scènes politiques.
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