Le ministère public au tribunal de première instance de Tunis 01 a autorisé à arrêter une personne pour « détention et usage des sceaux et cachets originaux de l’autorité publique d’une manière préjudiciable aux droits et intérêts d’autrui et pour détention par un agent public des biens meubles qui étaient en sa possession en raison de sa qualité.
Et ce, après que les unités de sécurité affiliées aux divisions de police judiciaire de la Marsa ont eu connaissance d’un afflux d’étrangers en provenance de la zone au domicile de l’intéressé, qui est un employé municipal limogé.
La question ayant reçu l’importance nécessaire par les unités de sécurité susmentionnées, l’équipe spécialisée dans les enquêtes sur les crimes de violence contre les femmes et les enfants, et le poste de sécurité nationale de la Marsa est, après avoir consulté le représentant du ministère public, s’est déplacée au domicile de l’intéressé, qui s’est avéré être récemment sorti de prison pour « une affaire des contrats de vente frauduleux », dont des contrats de vente de voitures, des contrats de location de magasins, des actes de naissance, des copies de cartes d’identité nationales, les cachets à date, les cachets de « copies conformes » français et arabe, et un livret de quittance de location ainsi que d’autres sceaux, ont été saisis.
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