La vice-présidente de la commission nationale de lutte contre le terrorisme a annoncé, ce lundi, lors d’une séance d’audition à l’ARP, que la décision de la Tunisie d’accueillir ses ressortissants ayant combattu dans les rangs des terroristes à l’étranger, n’est pas tant un choix, mais qu’il s’agissait d’une obligation internationale. De plus, la Constitution tunisienne stipule que tout tunisien a le droit de vivre dans son pays.
Elle a assuré qu’un plan a été préparé pour leur accueil qui consiste à les présenter à la justice, à les incarcérer dans des cellules d’isolement, pour éviter l’embrigadement d’autres détenus de droit commun. Comme elle a annoncé la mise en place d’un système de suivi et de surveillance qui leur sera dédié à leur sortie de prison pour s’assurer qu’ils ne représentent plus de danger pour la société.
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