Dans un communiqué, datant du 5 novembre 2020, le bloc parlementaire la Réforme a qualifié le comportement du président de la coalition Al Karama, Seif Eddine Makhlouf de « criminel ».
Expliquant que ce dernier persiste encore à agresser verbalement les autres députés et à les humilier, sous la coupole du Parlement et sur les réseaux sociaux, le bloc a estimé que des sanctions doivent être prises à l’égard du président d’Al Karama.
Il a, dans le même sens, condamné la violence perpétrée par ce dernier contre les femmes parlementaires, soulignant l’effet néfaste de ces agissements sur l’image de l’ARP à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
Le bloc a, à cet effet, appelé la présidence et le bureau du parlement, ainsi que tous les députés à prendre les mesures qui s’imposent contre Makhlouf et contre tous ceux qui couvrent ses dépassements, compte tenu du danger qu’une telle attitude représente pour la transition démocratique et la vie politique en général.
Un point de vue qui semble proche de celui du PDL dont la présidente, Abir Moussi a commenté la décision du bureau du Parlement dénonçant la violence perpétrée à son égard par le président de la coalition Al Karama Seif Eddine Makhlouf, en affirmant que le fait de reconnaître qu’il y ait eu violence et de la dénoncer est loin d’être suffisant.
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