“La Tunisie figure parmi les pays confrontés à un problème de pollution”, a reconnu samedi le ministre des Collectivités locales et de l’Environnement, Mokhtar Hammami.
“Cette classification n’est pas nouvelle et doit être clarifiée pour des raisons de sensibilisation et ne représente pas un sujet tabou”, a-t-il précisé dans une déclaration sur radio Shems Fm, ajoutant que “ce n’est pas le domaine exclusif des experts et de l’environnement, c’est une question locale et cela concerne toutes les parties”.
“La Tunisie est verte, mais des avertissements et des signes de danger doivent être pris en compte, tels que des problèmes de pollution dans le bassin minier et dans les zones industrielles de Gabès et de Bizerte”, a-t-il signalé.
Le ministre a souligné aussi que les générations futures sont menacés de ne pas être conscients de l’importance d’un environnement sain, soulignant “l’existence de problèmes importants en matière d’eau potable et d’eau d’irrigation”.
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