L’organisation I Watch a annoncé, ce mercredi, que les postes vacants dans l’administration tunisienne se font trop nombreux, de façon à ce que cela a commencé à entraver les services publics par endroits.
I Watch prend l’exemple de la cheffe du cabinet présidentiel, Nadia Akacha démissionnaire ou limogée depuis une année sans qu’il n’y ait la moindre intention de la remplacer, malgré l’importance cruciale du poste.
L’organisation ajouté que les postes vacants ne concernent pas seulement la présidence de la République, mais aussi, les pouvoirs exécutif et judiciaire, ainsi que le chancelleries à l’étranger et certains gouvernorats.
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