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Le collectif de défense de Noureddine Bhiri a assuré, ce mardi, que l’hôpital de Bizerte, où est hospitalisé leur client, était, cet après midi, encerclé par un très grand nombre d’agents de police, qui ont empêché les membres de sa famille de lui rendre visite comme à leur accoutumée.
Les avocats disent craindre que Bhiri est décédé, et que les agents n’ont pas reçu l’ordre de l’annoncer.
Les avocats font endosser au ministre de l’intérieur la responsabilité de l’intégrité physique de leur client.
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