Le directeur du Département de la préservation de la santé et de la protection de l’environnement, Mohamed Rabhi, a affirmé qu’au cours du mois de Ramadan, le pourcentage de tricheries dans la vente des produits alimentaires augmente de 20% par rapport au reste de l’année, soulignant que certains quartiers populaires sont devenus des “incubateurs de tricheurs”.
Dans une déclaration au journal Achourouk du mercredi, 8 mai 2019, il a précisé que la plupart des irrégularités contrôlées persistent car les consommateurs ne boycottent pas les circuits anarchiques “Certains même se rendent complices en refusant de les dénoncer sous prétexte que leurs prix sont raisonnables, ignorant les risques liés aux produits proposés sur leur santé”, a-t-il déclaré.
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