Chokri Rezgui, vice-président de l’Union tunisienne de l’agriculture et de la pêche (UTAP) chargé de la production agricole, a expliqué que la hausse attendue du prix du lait à la production ne doit pas être, inférieure à 500 millimes.
Rezgui a également confié à la TAP, que la décision doit être prise d’urgence pour éviter l’effondrement de la filière laitière. Les éleveurs des vaches vendent un litre de lait aux collecteurs et aux industriels à 1350 millimes, ce qui peut menacer la filière de l’effondrement à cause de la hausse du coût de production et causer ainsi la faillite des éleveurs.
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