Décidément, tout ancien président et tout provisoire qu’il était, Mohamed Moncef Marzouki n’en rate pas une pour s’acharner sur ses compatriotes, les tunisiens. Il l’a fait quand il était président provisoire, il les a insulté et humilié devant une assistance internationale, il leur a, même, promis des potences. Il continue à le faire à ce jour.
Il a jugé utile d’exploiter une vanne qui se présentait à lui, quand on ne sait qui a commis un fait de racisme à l’encontre des joueurs brésiliens lors de leur match face à la Tunisie, à Paris. Il ne pouvait pas rater une si belle aubaine pour dire son mépris et sa haine aux tunisiens, qui, soit dit au passage semblent le lui rendre de belle manière. Il faut dire qu’il en a de la haine et de la rancune contre ce peuple, qui a refusé de le plébisciter.
Marzouki s’est, donc, réveillé de sa torpeur, par cette affaire de « jet de bananes » au parc des princes, et a sauté dessus pour prétendre présenter ses plates excuses à « ses frères » les brésiliens, des faits impardonnables des tunisiens qui « reflètent la nature de leurs auteurs !
Pourtant, et comme l’a précisé la FTF, rien ne prouve que le lanceur de bananes soit tunisien, et les spectateurs tunisiens ont, au contraire, été très corrects, ce jour-là.
Mais il faut croire que la tentation était grande. Car le fait d’accuser les tunisiens de ces actes exposait l’équipe de Tunisie à de probables sanctions. Ce qui aurait fait fondre de plaisir notre ex-provisoire !
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