Dans un post publié sur sa page officielle le 29 septembre 2020, l’ancien président de la République, Moncef Marzouki, a déclaré qu’il était contre la peine capitale, appelant à son abolition définitive.
Il a indiqué que l’exégèse coranique conduirait à tolérer l’esclavage, la violence envers les femmes et les injustices sociales, estimant que dans les pays où cette sanction est appliquée, elle est souvent utilisée à des fins racistes et discriminatoires.
L’ancien chef de l’Etat a espéré que la Tunisie suive l’exemple de la Turquie pour devenir le premier Etat arabe qui supprime la peine capitale de son registre de sanctions.
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