L’ex député de la coalition Al Karama, Mohamed Affes, qui a été interrogé par les agents de la brigade antiterroriste, dans le cadre de l’affaire de l’embrigadement et de l’envoi des jihadistes aux zones de conflit, a assuré que le dossier n’avait aucun fondement et que les questions concernaient des faits anodins, comme la venue de prédicateurs extrémistes ou les nominations au ministère de l’intérieur.
Il a assuré que le nombre des personnes impliqués dans ce dossier est énorme, et que pas moins de 817 personnes sont frappées d’interdiction de voyager, dont, l’ancien président provisoire de la République, Moncef Marzouki.
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