Selon le journal Al Bayan, une enquête judiciaire allait être ouverte, à l’encontre de près de 120 pages des réseaux sociaux, ayant diffusé diffusé l’intox, jeudi dernier, faisant état du décès du chef de l’Etat, Béji Caïed Essebsi.
Ces pages, ayant créé un état de panique générale parmi la population, est venu s’ajouter au stress qui a suivi les deux attentats suicides qui ont secoué la capitale, la même matinée.
Espérons que cette enquête intéresse toutes les pages quel qu’en soit l’administrateur. Car les tunisiens se rappellent bien de « tous » ceux qui ont lancé cette rumeur, même si quelques uns sont assez limités dans le maniement de la langue anglaise.
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