Selon le post de la consœur, Faten Hamdi du journal « Sawt Achaâb », un certain nombre de journalistes tunisiens se sont rendus ce matin, au palais de Carthage, après avoir appris la visite du président turc, Erdogan. Elle a ajouté qu’ils ont eu la déception de se voir refuser l’accès au Palais, pour la couverture de cette visite et des entretiens entre les deux présidents. Seule l’agence de presse turque Anadolu a eu le privilège de couvrir l’événement, ainsi qu’une poignée de médias tunisiens triés sur le volet. D’ailleurs ils ont eu droit qu’à un succinct point de presse tenu par la responsable de la communication du palais.
Pour les autres journalistes tunisiens, l’accueil a été tout autre, puisqu’il parait que l’un d’eux a même failli être emmené de force au poste de police du coin ! Est-ce une nouvelle politique de communication ?
Le fait de tenir les confrères tunisiens à l’écart des entretiens entre les deux chefs de l’Etat, ainsi que de taire l’arrivée de Fayez Sarraj et d’une délégation libyenne ne fait que confirmer que les termes des entretiens sont plus que suspects.
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