Société

Tunisie – Qui est entrain de détruire le pays de façon irrémédiable ?

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Ce qui est en train de se passer, ces derniers jours, notamment, à Tunis, est tout simplement, un plan diabolique élaboré, pour détruire définitivement, et irrémédiablement, le pays, et de couler la barque, avec tout le monde à son bord.

La Tunisie est, déjà, en proie à une crise complexe. Une crise sanitaire avec la pandémie du covid, gérée de façon catastrophique par un ministre de la santé incompétent et incapable, doublée par une crise économique, suscitée par la mauvaise gestion de l’Etat, de ses finances, et de ses entreprises, depuis plus de dix ans, ainsi que d’une crise sociale, avec l’effondrement des classes sociales et l’appauvrissement de toute la population (ou presque), menaçant d’éclatement, à tout moment et de chute du pays dans le chaos et l’anarchie totaux. Et, surtout, une crise politique, avec trois présidents qui se font la tête, et qui se font la guerre, indifférents qu’ils sont aux problèmes de l’Etat, et aux risques gravissimes, encourus.

A toutes ces crises, certains n’ont pas hésité à en rajouter une autre, plus grave, encore, et qui est celle de tout faire pour se débarrasser du chef du gouvernement. Sachant que le départ de ce gouvernement va, immanquablement, signer l’arrêt de mort de toute la Nation, puisque sa survie est, en ce moment, suspendue à la bonne volonté des bailleurs de fonds, pour lui renflouer les caisses désespérément vides, et qu’il faut oublier tout versement du moindre dollars, qi jamais ce gouvernement venait à sauter, puisque les bailleurs de fonds e seront pas prêts à composer et discuter avec un pays sans gouvernement, et sans dirigeants. Et, surtout, avec des dirigeants qui s’entretuent et qui refusent de se mettre d’accord sur quoi que ce soit.

Et, plus grave, encore, ceux qui sont en train de pousser vers ce chaos et ce néant, et qui sont reconnaissables à leur empressement de tout faire flamber à la moindre occasion, comme, ces derniers jours, quand ils ont réagi au quart de tour, pour se lancer dans une procédure de destitution du chef du gouvernement, pour cause de violences policières… Ils ne reculent devant rien, et sont en train de mettre le pays à feu et à sang, juste pour prétendre que l’Etat est en train de virer vers un Etat policier et dictateur, et que de ce fait, le premier responsable des forces de sécurité intérieure, devra, absolument et obligatoirement, sauter.

Or, ces pêcheurs en eaux troubles semblent oublier qui est le chef suprême de ces forces armées « civiles » et qui ne cesse de le crier sur tous les toits. Donc, là, on commence à se brouiller l’esprit, et on ne comprend plus qui va devoir sauter !

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Publié par
Saber .