Rached Ghannouchi, leader of the Tunisian Islamist Ennahda party, checks his ballot behind a booth at a polling station in Ben Arous near the capital Tunis on May 6, 2018, as the country votes in the first free municipal elections since the 2011 revolution. - Tunisians head to the polls on May 6 in what is seen as another milestone on the road to democracy in the birthplace of the Arab Spring, despite muted interest in the poll as struggles with corruption and poverty continue. Though parliamentary and presidential votes have taken place since the fall of dictator Zine El Abidine Ben Ali, municipal polls have been delayed four times due to logistic, administrative and political deadlocks. (Photo by FETHI BELAID / AFP)
Le président de l’ARP, Rached Ghannouchi a souligné le danger découlant des discours extrémistes et haineux, ainsi que la non-acceptation de la diversité.
la seule solution serait de trouver un consensus politique et social pour aller de l’avant et instaurer la paix civile, via le dialogue.
Rached Ghannouchi a ajouté, dans une déclaration de presse, en marge de sa participation hier à une conférence organisée à l’occasion du 65e anniversaire de l’Indépendance par le bureau de la jeunesse d’Ennahdha que tous les pays qui traversent une période de transition démocratique font face à de tels problèmes.
Il a également affirmé que l’ARP n’est pas concernée par le différend politique entre le président de la République, Kais Saied et le chef du gouvernement, Hichem Mechichi estimant que Kais Saied est le seul responsable de l’impasse politique actuelle.
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