Le président du Mouvement Ennahdha, Rached Ghannouchi a indiqué, dans une déclaration au Washington Post, que la réussite démocratique en Tunisie serait au profit du monde entier.
Selon lui, l’expérience tunisienne est un bon exemple sur le consensus entre Islam et démocratie, ce qui représente une excellente manière de lutter contre les interprétations extrémistes et violentes.
« Ennahdha assume une part de responsabilité quant au retard pris dans la gestion de la situation économique. Cette responsabilité est proportionnelle à notre poids politique au sein du gouvernement » a-t-il affirmé.
Après avoir admis que son parti est responsable de la détérioration de la situation économique, Ghannouchi a voulu très vite se rattraper et désavouer sa responsabilité en affirmant que l’expérience du Mouvement en matière de gouvernance était faible.
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