Le membre du Mouvement Ennahdha, Rafik Abdessalem a indiqué aujourd’hui, que la Tunisie n’est pas « la ferme de Mahrous », (chasse gardée), via une publication sur sa page officielle.
Abdessalem a, à cet effet, souligné que le limogeage du ministre de l’Intérieur, Taoufik Charfeddine n’est pas un crime qui doit être justifié. mais un acte entrant dans le champ des prérogatives du Chef du gouvernement.
L’ancien ministre a également souligné que la vie politique en Tunisie est réglementée par une Constitution et un ensemble de textes législatifs. De ce fait, le président de la République n’a pas besoin de crier sur tous les toits « Je suis le président et le chef suprême des forces armées ».
Rafik Abdessalem a également déclaré qu’en dépit de tous les reproches qu’on peut lui faire, la Constitution établit un vrai équilibre entre les pouvoirs et protège le pays contre le despotisme.
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