Le dirigeant du mouvement Ennahdha, Rafik Abdessalem a estimé que le consensus avec le président défunt, Béji Caid Essebsi et Nidaa Tounes a permis d’éviter une guerre civile mais n’a pas aidé le pays à réaliser des progrès économiques.
Dans un post sur sa page Facebook, Rafik Abdessalem, a indiqué que son parti s’est positionné entre le pouvoir et l’opposition après les élections de 2014.
Il a reconnu que si cette expérience est un succès, cette politique de consensus a affaibli les rivaux d’Ennahdha qui s’en est sorti avec des séquelles.
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