Le chroniqueur Riadh Jrad a assuré, ce soir, sur le plateau d’une télé privée, que la visite de Kaïs Saïed à la Médina et à l’Avenue Bourguiba, n’était pas sa première sortie en public, ni ne sera la dernière. Ce qui témoigne de la connexion et de la proximité du président avec le peuple tunisien, et ce depuis bien avant son accession à la présidence. Il a ajouté que cette sortie contribue à démentir ceux qui prétendent que Saïed est isolé du peuple et de la réalité du pays.
Riadh Jrad a ajouté que le président effectue ces nombreuses sorties pour évaluer de visu les différentes situations et pour recueillir en personnes, les attentes et doléances du tunisien. Il a précisé que la liesse et la familiarité que suscitent les visites du président, montre si besoin est, la différence entre un président aimé par le peuple et un président craint du peuple.
Le chroniqueur a abordé, par la suite, l’entretien qu’a eu Kaïs Saïed avec le Kamel Maddouri, où il a été question de justice et de palais de justice, précisant que cela témoigne de l’insistance du président sur le sujet des législations économiques et sociales, pour revenir aux objectifs primaires de la révolution du 17 décembre, avant que « les corbeaux » ne viennent dévier le sujet vers des affaires annexes qui n’avaient rien à voir avec les intérêts des tunisiens.
Riadh Jrad a cité, à ce sujet, les actions faites dans ce sens, comme la réintégration des travailleurs des chantiers, et des enseignants suppléants. Concernant le dossier de la justice, il a rappelé les actions entreprises depuis le 25 juillet, avec la dissolution du haut conseil de la magistrature qui était soumis aux pressions de certaines parties politique, ainsi que le limogeage d’un nombre de magistrats…
Riadh Jrad a ajouté qu’il pense que l’année 2025 sera celle de la résolution de plusieurs grandes affaires judiciaires, comme les assassinats, l’envoi des jihadistes, les complots contre la sûreté de l’Etat… Ce qui va concrétiser la réforme et l’assainissement du secteur de la justice.
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