Tunisian presidential candidate Kais Saied poses for a picture with a national flag at his campaign headquarters in the capital Tunis on September 15, 2019, as exit polls ahead of the preliminary results for the polls predicted him to be "first in the first round". - Kais Saied, an independent 61-year-old law professor and expert on constitutional affairs, and jailed media mogul Nabil Karoui, behind bars due to a money laundering probe, the two anti-establishment candidates in Tunisia's divisive election on September 15, claimed to have won through to a runoff after polling closed in the country's second free presidential poll since the 2011 Arab Spring. (Photo by MOHAMED KHALIL / AFP)
A l’issue de leur rencontre au Palais de Carthage aujourd’hui, la ministre de la Justice, Leila Jaffel a rapporté que le Président de la République, Kais Saied a souligné la nécessité de préserver le Conseil Supérieur de la Magistrature en tant qu’institution constitutionnelle garante de l’indépendance de la justice.
La ministre a également déclaré que Saied a ajouté que cette piste serait participative et démocratique assurant la justice pour tous et a mis l’accent sur la nécessité de réviser la loi du Conseil Supérieur de la Magistrature pour qu’elle garantisse des droits de tous les magistrats et leur permette d’exercer leurs fonctions au mieux.
Affirmant que cette période sera organisée par un organe ou conseil judiciaire temporaire pour examiner les affaires urgentes jusqu’à l’instauration du Conseil Supérieur de la Magistrature et sa nouvelle loi.
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