Le ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération Internationale, Selim Azzabi s’est félicité de l’adoption en Conseil des ministres du projet d’amendement de l’article 96 du code pénale relatif aux comptes à demander aux responsables de l’administration du pays.
Considérant de vieux combat pour lequel il s’est investi notamment avec la collaboration récente de son homologue Mohamed Abbou, ministère chargé de la Fonction publique, de la Bonne gouvernance et de la lutte contre la Corruption, Selim Azzabi a qualifié cette adoption “de pas révolutionnaire réalisé dans le processus de réforme de l’administration”.
Il a estimé que l’article 96 était une épée de Damoclès au dessus des têtes des administrateurs qui sont les piliers de l’Etat tunisien.
Après l’adoption de ce projet de réforme de l’article 96 du code pénal, Selim Azrabi a résumé en affirmant: “”La punition pour quiconque réalise intentionnellement un avantage illégalement”! C’est la formule qui tranche!
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