Depuis quelques jours et comme par hasard, depuis que le chef du gouvernement a montré sa volonté de s’affranchir de certains soi-disant alliés et qu’il a laissé entrevoir qu’il allait mettre le paquet, durant ce qui restait de son mandat, pour réaliser, ne serait-ce qu’en partie, ses projets, les internautes tunisiens ont constaté qu’il y a une campagne qui a démarré sur les chapeaux de roues, pour tenter de le stopper dans son élan. Une campagne qui, faute de lui trouver des failles personnelles, n’hésite pas à l’attaquer à travers certains de ses ministres et certaines personnes connues pour lui être proches.
Cette offensive semble bénéficier d’un support financier considérable et on serait bien curieux de connaître ces acteurs de l’ombre, car en l’absence de vrais dossiers, à travers lesquels les détracteurs peuvent affronter le chef du gouvernement ou ses proches collaborateurs, ceux qui sont en train de tout orchestrer en sont venus à fouiller dans les archives et à reprendre d’anciens dossiers déja étudiés, traités et, le plus souvent, classés, pour les faire réapparaitre à la surface. Le tout à force de sponsoring qui coûte ce que çà coûte et en Euros, s’il vous plait, en se payant les services de pages et de sites qui, jusqu’à dernièrement, étaient neutres et indépendants et qui ont, apparemment été grassement récompensés, pour entrer dans ce jeu de sape qui cible le chef du gouvernement, en n’hésitant pas à s’acharner sur son entourage, dans un vil jeu qui ne fait pas honneur à ceux qui le pratiquent.
Décidément, la Tunisie n’est pas près de connaitre la vraie démocratie, celle qui se base sur la concurrence loyale et qui tourne autour de programmes politiques et socioéconomiques. La « démocratie » tunisienne s’apparente beaucoup plus au grand banditisme et aux affaires de Maffia !
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