Dans un communiqué publié le 17 novembre 2021, le PDL a dénoncé le fait que la Loi de finances complémentaire ait été “balancée en douce” dans le JORT, via un simple décret-loi, sans l’organisation d’un point de presse et sans même annexer une notice explicative.
Ce manque de transparence est d’autant plus condamnable en l’absence de tout mécanisme de contrôle et de contrepoids d’après le PDL qui a vu en cela “une insulte au peuple tunisien”.
Se félicitant d’avoir boycotté les sessions de discussion et de s’être abstenu de participer au vote de la Loi de Finance avant la suspension des travaux de l’ARP, le parti a expliqué que depuis le début, ce texte était inapte d’offrir des solutions à la crise financière que la Tunisie a connu durant “la décennie noire des frères musulmans”.
Il a par ailleurs souligné qu’il continuera à exercer son rôle de parti de l’opposition et qu’il se réserve le droit de recourir à tous les moyens pacifiques et légaux pour éclairer l’opinion publique et lutter contre les abus de pouvoir.
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