La porte-parole de l’UNICEF, Tess Ingram, a confirmé qu’un million d’enfants dans la bande de Gaza souffrent de traumatismes psychologiques.
Elle a ajouté dans une interview télévisée hier, jeudi 6 février 2025, que « les conditions de vie auxquelles sont confrontées les familles à Gaza sont dangereuses au vu de leur besoin de fournir de l’eau potable, de l’aide et des couvertures », selon ce qui a été rapporté par le site Internet « Al-Quods ».
Elle a souligné que 10 000 camions d’aide sont entrés à Gaza jusqu’à présent, mais qu’il en faut davantage et que des tentatives sont en cours pour faire entrer des vêtements et de la nourriture pour les enfants de la bande de Gaza.
Elle a souligné que « si les usines de dessalement de Gaza ne fonctionnent pas, les enfants de la bande de Gaza seront confrontés à des risques sanitaires ».
Elle a ajouté que l’avenir de la bande de Gaza est décidé par les habitants de la bande eux-mêmes, et qu’ils sont déterminés à reconstruire ce qui a été détruit.
Le cessez-le-feu dans la bande de Gaza est entré en vigueur le 19 janvier 2025 et sa première phase durera 42 jours, durant lesquels des négociations auront lieu pour entamer une deuxième puis une troisième phase, sous la médiation de l’Égypte, du Qatar et des États-Unis.
L’accord prévoit le début des négociations indirectes sur la deuxième phase au plus tard le 16e jour, l’accord devant être finalisé avant la fin de la cinquième semaine de la première phase.
Entre le 7 octobre 2023 et le 19 janvier 2025, les forces d’occupation ont commis un génocide à Gaza, laissant plus de 159 000 martyrs et blessés palestiniens, en majorité des enfants et des femmes, et plus de 14 000 disparus.
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