Commentant la saisie de l’argent que le tunisien ayant vendu son rein avait obtenu à l’issue de cette transaction, l’avocate et chroniqueuse, Sonia Dahmani a affirmé, ce vendredi 30 octobre, que l’individu en question aurait trouvé un moyen de contourner la loi.
En effet, l’individu aurait épousé la sœur de la personne qui avait besoin du rein, pour être en conformité avec la loi turque qui autorise le don d’organe entre les membres d’une même famille.
Elle a également précisé que le crime en question a eu lieu sur le territoire turc, relevant la compétence législative des tribunaux de ce pays.
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