En marge de sa participation à une séance de travail intitulée « Constitution 2022 : Quel Etat de droit ? Quelle démocratie ? », le membre de l’Ordre national des avocats Wissem Chebbi a pointé des indicateurs alarmants sur la violation des droits et des libertés dans le pays.
S’exprimant au micro de Tunisie Numérique, notre intervenant a dénoncé la comparution des civils et les avocats devant les tribunaux militaires saluant la dernière décision émise dans le cadre de l’affaire Abderrazek Kilani.
Il a indiqué que le décret-loi n°54 porte atteinte à la liberté d’expression réclamant son amendement voire même sa suppression.
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