L’ancien dirigeant du mouvement Ennahdha Imed Hammami a considéré que le président de la République, Kais Saied avait trop de patience avec le gouvernement de Najela Bouden.
Hammami a estimé que la solution à la situation actuelle réside dans un gouvernement fort capable de résoudre les problèmes économiques et sociaux des Tunisiens, parallèlement à la poursuite de la deuxième tour des élections législatives.
Dans une déclaration faite à une radio privée, il a appelé à la formation d’un nouveau parlement, d’un Conseil supérieur de la magistrature et de la Cour constitutionnelle.
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