La Fédération des journalistes africains (FAJ) exhorte l’Union africaine, les gouvernements nationaux, les acteurs des médias et les développeurs de technologies à mettre en place des garanties exécutoires pour protéger la liberté journalistique et la confidentialité des données.
L’IA doit être gérée avec transparence et équité afin de garantir qu’elle soutient – et non remplace – la dimension humaine essentielle du journalisme.
« L’IA ne peut remplacer les journalistes humains, et ses productions ne doivent pas être considérées comme du “journalisme”, sauf si elles ont fait l’objet d’une surveillance et d’un contrôle humains appropriés. »
Source: FIJ
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