Au sujet de la crise du remaniement ministériel, l’ancien ministre des Affaires Etrangères (nahdhaoui), par ailleurs spécialiste en «résolution de conflits politiques» Rafik Abdessalem a fait part aujourd’hui 10 février 2021 de sa position émanant de son expérience en la matière : “Autant que je sache, la position de la ceinture parlementaire n’a pas changé et ne changera pas, car elle est basée sur un soutien constitutionnel fort et des normes politiques claires.”
“La situation normale est l’acceptation de la prestation du serment, mais le Chef du gouvernement, monsieur Hichem Mechichi, reste soutenu par sa ceinture parlementaire, pour déterminer les étapes qui lui conviennent après avoir consulté les juristes et les instances d’arbitrage. L’important est de ne pas perdre plus de temps et d’efforts et de se concentrer plutôt sur la résolution des questions pas encore résolues en Tunisie », a-t-il expliqué.
Compte tenu de la situation NORMALE, Mechichi doit non seulement attacher sa « ceinture parlementaire » mais aussi se préparer à un limogeage express, car ladite “ceinture” l’a mal conseillée dès le départ et a désormais brulé toutes ses cartes.
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