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La Tunisie et les migrants subsahariens : La théorie du complot international se confirme et l’image devient complète

La Tunisie et les migrants subsahariens : La théorie du complot international se confirme et l’image devient complète

Le complot qui vise la Tunisie et son respect des droits de l’homme, tant décrié par Kaïs Saïed, se confirme, chaque jour, un peu plus. Et son image se complète, avec tous les ingrédients d’un large complot orchestré à l’échelle internationale et auquel de nombreuses parties prennent part et se réjouissent, même, d’enfoncer le clou. Le but étant de dépeindre la Tunisie dans l’image d’un pays doté d’une direction plus proche du bourreau que d’un Etat.

Nombreux étaient, au début, ceux qui pensaient, peut-être, que Kaïs Saïed exagérait en parlant de complot, et en accusant des parties qu’il s’interdisait de nommer.

Mais, là, au fil du temps, cette théorie s’est confirmée et l’image du complot international est, désormais, complète. Il ne lui manque que l’acte final. Celui des sanctions.

Sinon, toutes les étapes de la trame sont là :

Il devient évident qu’il y a des gangs internationaux qui sont en train de diriger vers la Tunisie, les flots incessants de migrants subsahariens. Il devient, aussi, évident qu’ilk y a d’énormes sommes d’argents qui entrent en jeu. Des sommes qui ne peuvent pas provenir de chez les pauvres malheureux qui se jettent dans la gueule du Sahara, pour atteindre leur but avoué qui est la Tunisie, et plus précisément, Sfax. Sfax, où le travail a commencé depuis des années, avec les activités d’un certain gouverneur qui a, parfaitement, préparé la plateforme de la migration clandestine à Kerkennah, et en a donné les clés, à l’époque, aux salafistes. Et, à l’époque, cette plateforme tournait dans les deux sens, en envoyant les barques vers les côtes européennes, mais, aussi, et on s’en souvient, en accueillant celles qui provenaient des côtes libyennes, chargées d’individus aux desseins pas très nets.

Par la suite, tout un discours et une stratégie d’alimentation de la haine entre les tunisiens et les hôtes subsahariens, ont été mis en place, et ont vite donné les fruits escomptés, puisqu’on en arriva, à un certain moment, au meurtre.

Sur un autre plan, on dirait que les migrant aient reçu des consignes pour devenir agressifs, plus qu’il ne le faut. Ils en sont venus à s’attaquer aux citoyens, à oser des choses impensables, comme instaurer leur propre système judiciaire, voire, carcéral, en Tunisie. Ils ont, de plus en plus, montré des signes de rébellion et de désobéissance aux forces de l’ordre, allant jusqu’à les affronter et les menacer en haute mer. Cette stratégie cherchant, probablement, à provoquer des réactions fâcheuses de la part des forces de l’ordre tunisiennes. Réactions qui ne sont jamais venues, grâce à la maitrise des agents et leur sens de la retenue et de la discipline et du respect des droits humains. Mais, qu’à cela n’en tienne. Si les forces de l’ordre tunisiennes refusent d’entrer dans ce jeu et de sévir contre les migrants, rien n’empêche de les accuser de tels actes, puisqu’ils ne viennent, décidément, pas.

Et, ce qui finit de confirmer cette théorie de complot, c’est la réaction générale suscitée par de supposés images tournées dans le Sahara, montrant des migrants, cruellement, abandonnés à leur sort, en plein désert, sans la moindre goutte d’eau. Et on a beau affirmer que ces images ont été prises en Libye, ils ont persisté à accuser la Tunisie et ses agents de l’ordre d’avoir pénétré en profondeur en territoire libyen, pour y déposer ces pauvres gens. Et quand le secrétaire général de l’ONU, en personne, se base sur ces images douteuses, et s’attaque à l’Etat tunisien, on comprend, alors l’ampleur du complot et des parties qui le fomentent.

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