Lawyer and human rights defender Chawki Tabib, one of the contestants for the position of Tunisian Prime Minister gestures as he speaks in his office on December 4, 2013 in Tunis. Tabib, who turns 50 at the end of December, had been repeatedly proposed for the premiership by the Popular Front, a leftist grouping of opposition parties, during crisis talks with the ruling Islamists aimed at breaking months of political deadlock. AFP PHOTO / FETHI BELAID (Photo credit should read FETHI BELAID/AFP/Getty Images)
Les termes de l’assignation à résidence de Chawki Tabib ne sont pas respectées par les agents chargés de contrôler les déplacements de ce dernier, en contradiction avec la décision du président du Tribunal administratif.
Les avocats de Tabib (Abderraouf Ayadi et Abderrazek Kilani) ont déclaré avoir essayé de faire comprendre aux agents que l’assignation de Tabib n’inclut pas son empêchement de se rendre sur son lieu de travail (son bureau, le tribunal…). Cependant, les agents leur ont expliqué qu’ils ont reçu des ordres les empêchant d’accepter une telle requête.
L’assignation à résidence de Chawki Tabib s’apparente à une sorte de prison privée, d’après ses avocats, qui ont appelé les différentes structures de la profession à jouer leur rôle et à défendre leurs adhérents.
Laissez un commentaire