A l’issue de la réunion de son instance administrative nationale, l’UGTT a exprimé son attachement à l’organisation d’un dialogue pour sortir de la crise complexe à laquelle fait face le pays.
Elle a ajouté que la circulaire n°30 du 17 mai 2022 qui porte sur la formation d’une instance nationale consultative pour l’instauration d’une “Nouvelle République” n’a pas été élaborée suivant un accord ou un consensus expliquant qu’il n’était pas à la hauteur des attentes des parties nationales ayant voulu rompre avec la décennie noire.
La centrale syndicale s’est opposée à un dialogue formel et tardif qui a été imposé par une seule partie soulignant qu’il a pour but d’adopter des résultats parachutés et préparés à l’avance.
“Ces résultats seront imposés par le passage en force. Nous considérons que le dialogue lancé sur ordre présidentiel après 10 mois d’attente, de rejet et de doute aggravera davantage la crise” lit-on dans le communiqué.
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