La France ouvrira ses archives sur les enquêtes judiciaires de la guerre d’Algérie « avec 15 ans d’avance »
Invitée sur le plateau de BFMTV, la ministre de la Culture Roselyne Bachelot a annoncé ce vendredi 10 décembre la prochaine ouverture des archives sur « les enquêtes judiciaires » de la guerre d’Algérie (1954-1962), près de 60 ans après et alors que la relation franco-algérienne est en crise depuis des mois.
« J’ouvre avec 15 ans d’avance les archives sur les enquêtes judiciaires de gendarmerie et de police qui ont rapport avec la guerre d’Algérie », a-t-elle annoncé. Une déclaration qui intervient deux jours après la visite à Alger du chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian.
La Chine est responsable d’un « génocide » des Ouïgours, selon des experts réunis à Londres
Dans un rapport de 63 pages, les experts ont conclu qu’il n’y avait aucune preuve de massacre de la minorité musulmane ouïgoure, mais que « les éléments d’un génocide intentionnel » tels que définis par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de l’Organisation des Nations unies (ONU) étaient pourtant « établis ».
Olaf Scholz, le tout nouveau chancelier allemand en visite à Paris
Premier déplacement international pour le tout nouveau chancelier allemand : Olaf Scholz est attendu ce vendredi à Paris.
Vaccins : feu vert de l’agence européenne du médicament pour une dose de rappel au bout de 3 mois au lieu de 6 mois
Si, à l’origine, il fallait attendre six mois avant de recevoir une troisième injection, la France a ouvert sa campagne aux personnes dont la dernière injection remonte à au moins cinq mois, et l’Angleterre à trois mois. Un délai suffisant pour l’Agence européenne des médicaments (EMA).
Dans une déclaration accordée aux médias, la Haute-commissaire aux droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU) Michelle Bachelet a annoncé que la vaccination forcée ne sera jamais acceptée.
Et d’ajouter que l’obligation vaccinale se doit de toujours respecter les droits humains.
Le président français n’a pas choisi la facilité. En effet il va présider le Conseil de l’UE – à partir du 1er janvier 2022 – alors que des élections auront lieu chez lui en avril 2022. C’est-à-dire qu’en même temps qu’il va entreprendre l’énorme chantier de la construction d’une vraie puissance européenne, il va battre campagne pour rempiler pour un second et dernier mandat. Alors qu’il aurait pu, comme l’a fait l’Allemagne, décaler la présidence de l’UE pour se focaliser sur sa réélection.
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