Et cette révolution du mauvais goût continue ses ravages en entrainant la disparition des fleurs au palais de CARTHAGE, laissant seule la morosité du pouvoir.
Des économies dans le budget de la présidence ? Non, ce n’est pas un argument! Il faut rappeler la réplique de Winston Churchill harcelé par son ministre de la guerre qui lui demandait une rallonge budgétaire aux dépends du ministère de la culture : sans la culture, Hitler serait déjà arrivé à Londres…
Un pays où on vante la place de la femme, ses dirigeants n’apprécient même pas la beauté féminine des fleurs, leur apport majestueux en ornant les coins et recoins d’une salle de réunion accueillant ses collaborateurs ou encore mieux les invités de marque.
Quand on va en Hollande, ce qui frappe le plus ce sont ses jardins publics et ses tulipes qui à l’origine ont été cultivées dans l’empire ottoman … Ce pays infesté par le mauvais goût et le manque de savoir vivre est entrain de subir pire que le passage de Attila en Europe ( Attila surnommé le « fléau de Dieu »).
Hélas, ce pays est pauvre plus par la pauvreté des esprits que par son manque de ressources. Le secteur floral avec ses centaines de travailleurs vient d’être banni d’un haut lieu de l’exécutif rendant encore plus hideux le pouvoir.
Quel désaveu pour ses professionnels ! Quel message à nos enfants? Ainsi les fleurs ont disparu et l’odeur de « la cristal » devient familière à Carthage faisant même l’objet de raillerie des autres chefs d’état qui y sont reçus… avec les salutations de Erdogan…
Mais quand les fleurs disparaissent, les mauvaises herbes poussent…
Que se passe-t-il en Tunisie?
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