Le chercheur en droit constitutionnel Rabeh Khraifi, a assuré que les sanctions prévues dans le décret sur la lutte contre la spéculation sont si lourdes et lourdes que même la loi sur le terrorisme ne les incluait pas.
Dans une déclaration faite ce mardi 22 mars 2022 à Tunisie Numérique, Khraifi a considéré que ce décret lié à la spéculation sèmera la panique chez à toute personne qui commettrait un acte incriminé par ce décret.
Il a ajouté que les sanctions comprenaient également la confiscation de biens immobiliers et de véhicules , ajoutant qu’il existe aussi des peines de prison prévues qui peuvent aller jusqu’à la perpétuité.
Le chercheur en droit constitutionnel a ajouté que le président de la République a décidé des peines plus sévères en temps de paix et que la sévérité de cette loi indiquent que le temps est un temps de guerre, selon ses dires.
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