Des représentants du ministère de l’Intérieur ont été auditionnés, ce mercredi 19 février 2020, par la commission parlementaire des droits, des libertés et des relations extérieures.
Ces correspondants ont fourni des données statistiques sur les braquages. Ils ont fait savoir que les malfaiteurs sont âgés de 13 à 30 ans, qu’ils sont généralement chômeurs et ont interrompu leurs études.
Un communiqué publié par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) indique que les représentants du ministère ont estimé que le traitement sécuritaire du phénomène du braquage n’est pas suffisant. Il s’agit pour eux de conjuguer les efforts des institutions éducatives, culturelles et médiatiques.
D’autre part, ils ont assuré que le taux de criminalité en Tunisie a baissé de façon remarquable soulignant que les unités sécuritaires spécialisées effectuent des patrouilles permanentes et des campagnes de sécurité visant à garantir la sécurité des citoyens.
Concernant la mesure de contrôle frontalier ” procédure S17 “, les représentants du ministère ont estimé que c’est une procédure préventive, qui existe partout dans le monde, non seulement pour lutter contre le terrorisme mais aussi pour faire face à plusieurs types de crimes, notamment, le trafic de drogues et d’êtres humains.
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